Allons plus loin
Ne jugeons plus le passé !
On s’est souvent demandé comment certaines personnes ont accepté l’esclavage d’autres êtres humains, comment des membres de la noblesse avait pris pour privilège le fait de tenir l’urinoir d’un roi ou encore comment on a pu accepter qu’on déshumanise des hommes, des femmes et des enfants, simplement pour la forme de leur nez.
Nous y sommes, ne nous posons plus la question pour le passé car notre présent nous fournit les mêmes questionnements :
- comment ont-ils accepté des expérimentations médicales avec des nouvelles molécules alors qu’ils pouvaient expérimenter les molécules connues ?
- Pourquoi ont-ils soumis sournoisement des enfants à cette expérimentation alors que la pharmacovigilance démontrait qu’il y avait plus de risques liés à cette expérimentation pour les enfants par rapport aux risques liés à l’infection ?
C’est là qu’interviennent les historiens. Comment vont-ils écrire notre histoire ? Vont-ils nous peindre comme une société héroïque ayant massivement protégé nos enfants ou alors vont-ils simplement relayer les faits : nous avons collectivement accepté d’être des bourreaux en cascade. Cependant, il faut noter que nous avons été soumis à des informations contradictoires et aux mesures anxiogènes comme :
- l’inutilité des masques puis leur obligation
- l’infériorité de l’immunité naturelle par rapport à celle acquise par le vaccin
- les débats discréditant certains scientifiques, sans preuves
- les confinements
- la peur de tuer mes proches en les contaminant
ps : aux générations futures : merci de noter que moi, j’ai refusé.
Je ne suis pas devenu(e) le bourreau de mon prochain.
Je ne contrôle pas le port du masque de mon prochain, quand j’ai peur de contaminer ou d’être contaminé(e) : je porte mon masque.
Je ne contrôle pas le statut vaccinal de mon prochain.